Au risque de déplaire aux vacanciers, j’aime assez les étés “pourris”.
En effet, quand on passe son temps à isoler des greniers qui ne le sont pas, on préfère 20° plutôt que 30° pour y travailler.
A la fin du chantier, le problème ne se pose plus, mais il est alors temps de partir.
Enfin un heureux avec la météo…